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dimanche 19 juin 2011

L' Australie est la crise

Jusqu'à maintenant, l'Australie était le pays occidentale épargné par la crise Économie. Es-ce encore la réalité ?

Actuellement, l'Australie vive grâce à trois secteurs d'activité : l'industrie minière, le tourisme et l'agriculture. Sa clientèle est le Sud-Est Asiatique. A cela, il faut ajouter l'Europe pour le tourisme.


Historique de la crise

Première étape : Le commencement
Comme en 1929, la crise vient de Wall Street à New York. En Aout 2007, la bulle spéculative immobilier éclate aux USA et au Royaume-Unis. Très vite, les gouvernements s'unissent et prennent de nombreuse révolution, afin d'éviter une contamination. Ils sauvent les banques et l'économie. Mais, le mal est déjà fait. Des milliers d'américains se retrouvent à la rue.  

Deuxième étape : Le phénomène amplificateur
Dans le même temps, une crise de production agricole voit le jour, comme en 1929. En 2007, les réserves alimentaires mondiale sont à un seuil crique (moins d'1 ans de stock). Les pays du quart-monde ont faim. Et amplifie les phénomènes monétaires.

Troisième étape : La contamination
Dans les années trente Raymond Poincaré (président français) dévalue le Francs, pour relancer l'économie française, suivis par l'Angleterre et l'Amérique. En 2007, l'US Dollar était en baisse. Il s'effondre. Ça ressemble étrangement à la crise de 29. Espérons qu'il ne finira pas de la même façon. L'EURO devient la monnaie forte au niveau international. Il protège l'Europe de l'inflation, les importations coût moins chére.


Quatrième étape : La conséquence immédiate
Mais, A quel prix ? L'économie des pays d'Europe latine (France, Espagne, Portugal, Italie, Grèce) sont habitués à une politique de dévaluation. Les entreprises ont plus de mal à exporter. Et les peuples loin de toute cette agitation sont habituées à leurs augmentations annuelles, impossible à financer avec une monnaie trop forte. Les tentions se créent. Les peuples se rebellent. Comme en France en 1936, elle permet une victoire de la gauche en Grèce. Ils veulent plus de sociale.

Cinquième étape : La crise Européenne
Selon la théorie du Stop and Go de l'économiste keynes, lorsque l'économie va mal les États doivent s'endetter et rendre du pouvoir d'achat, comme crée une politique de grand travaux. Mais, les États du Sud de l'Union Européenne sont déjà sur-endetté. Par conséquent, ils se retrouvent dans une impasse et sont contraints à la rigueur. Comment relancé l'économie sans moyen de relance ?

Sixième étape : La conséquence direct en Australie de la crise Européenne
Depuis plusieurs années de nombreux européens part faire en Australie. Ils ont pour objectif d'apprendre l'anglais, découvrir un nouveau horizon ou pour le rêve Australien. Avec la crise, ils sont plus nombreux à quitte l'Europe (France, Allemagne, Royaume Unis...). La concurrence un travail augmente. Mais l'Australie est un pays très jeune. Elle est encore en construction.

Septième étape : La conséquence indirect de la crise des subprimes
Il est fortement probable que les Américains et les Européens achètent moins ou ferme les frontières à certains produit. Le Sud-est Asiatique (Chine, Inde...) risque d'en payer le prix à son tour. Ils achèteraient moins de minerai aux Australiens et aux pays pétrolier du golf. Ces pays asiatiques ont énormément de capitaux placé en Australie. Si, ils ont moins d'argent. Ils font moins d'investissement.

 
Le dernier bastion retissant à la crise. A-t-il perdu ?

L'industrie minière gagne moins d'argent. L'industrie du tourisme gagne plus d'argent. Si le pays peut fournir du travail à ses backpakers. Jusqu'en 2010, il le pouvait. La pluie, les inondations, le cyclone dans le Queensland ont ravager les récoltes de l'année (Blé, Orge, Colza, légume...) et une partie de récolte de l'année prochaine (Arbre fruitier, Canne à Sucre...). De nombreux jeune européen se sont retrouvé sans rien faute de trouver du travail que l'Australie ne peux plus leur fournir. Les gens ne peuvent pas dépensé ce qu'ils n'ont pas. L'industrie du tourisme paie également la note.
Pour remédier au problème les gouvernement et les grandes entreprises Australienne ont durcie les processus dans l'accueil d'étranger. La plus part des banques ne prête plus aux créateur ou aux repreneurs d'entreprise. Si ils n'ont pas la nationalité ou la résidence permanente.

Dans certaines régions, les fermiers en age de plus de 70 ans n'y arrivent pas vendre leur ferme. Les jeunes Australie fuit ces régions. Lorsque qu'un européen ce propose comme repreneur les banques lui tourne le dos. Qu'elle risque prennent-elles à financer un bien immobilier, non bâtie et dans leur pays ? Que se passera-t-il ? Et que deviendra l'Australie lorsqu'elle n'aura plus d'agriculteur dans les ferme ? Il n'y aura plus personne pour embaucher les backpakers. Les backpaker auront-ils assez d'argent, pour faire vivre l'industrie du tourisme ?

mercredi 16 février 2011

Les 10 pays les plus riches

Avec une nouvelle hausse de 10,3% en 2010, le PIB chinois est passé devant celui du Japon.


1 - Etats-Unis : 14.660,2 milliards de dollars
La reprise économique s'est renforcée aux Etats-Unis en 2010. Après sa stagnation de 2008 et sa chute de 2,6% en 2009, le PIB a comblé ses pertes de la récession.

2 - Chine : 5.878,6 milliards de dollars
L'économie chinoise a dépassé celle de son voisin en 2010 et est devenue la deuxième du monde, derrière celle les Etats-Unis, une place qu'occupait l'économie nippone depuis 1968.

3 - Japon : 5.474,2 milliards de dollars
Lourdement frappée par la récession économique mondiale en 2008 et 2009, l'économie du Japon s'est relevée en 2010, sa croissance atteignant 3,9%, mais cela n'a pas permis à l'archipel de conserver sa deuxième position face à la Chine en ascension rapide.

4 – Allemagne : 3.305,8 milliards de dollars
Doublée par la Chine en 2007, l'Allemagne, dont l'économie a été durement touchée par la crise, a rebondi de 3,6% en 2010 - un chiffre jamais vu depuis la réunification du pays.

5 – France : 2.555,4 milliards de dollars
Le gouvernement français s'est engagé coûte que coûte à ramener son déficit public de 7,7% du PIB ou un peu moins en 2010, à 6% cette année et 4,6% en 2012. Il a déjà commencé à préparer les esprits à une rigueur accrue avec un nouvel effort annoncé de réduction des niches fiscales.

6 - Royaume-Uni : 2.258,5 milliards de dollars
Le gouvernement britannique a annoncé le relèvement d'une taxe imposée aux banques pour aider à combler le déficit public. Cette taxe doit aider le pays à faire face à son déficit public", supérieur à 10% du PIB.

7 – Italie : 2.036,5 milliards de dollars
L'Italie a adopté en juillet dernier un plan d'austérité de 25 milliards d'euros portant sur les années 2011 et 2012 qui devrait lui permettre de ramener son déficit à 2,7% en 2012 contre un niveau de 5,3% en 2009. Sa dette publique avoisine encore 120% de son PIB.

8 - Brésil : 2.023,5 milliards de dollars
Le gouvernement brésilien a annoncé des coupes budgétaires de 30 milliards de dollars en 2011 afin de freiner l'inflation, mais elles ne toucheront ni les programmes sociaux ni les investissements dans les infrastructures. Le but en 2011 est de parvenir à une hausse de 5% du PIB, après 7,5% en 2010.

9 – Canada : 1.563,6 milliards de dollars
L'économie canadienne a connu une croissance plus faible que prévu au troisième trimestre, le PIB ne progressant que de 1% en rythme annuel, en raison notamment de la faiblesse des exportations.

10 – Russie : 1.476,9 milliards de dollars
Le chiffre pour 2010 est légèrement meilleur que prévu, le Premier ministre russe, Vladimir Poutine, ayant indiqué à la mi-janvier que la hausse du PIB s'était établie à 3,8%.
Rosstat a précisé avoir révisé son estimation pour 2009, à moins 7,8% contre moins 7,9% précédemment.

(L. M. - Nouvelobs.com)